17 mars 2012
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Il n'y a que l'architecture de cette maison qui rappelle la baraque d'origine. A la Rouge-Porte, elles ne plus que 2 ou 3 à présenter les carastéristiques de la baraque en bois, En arrière-plan on voit le clocher de l'église Saint Joseph de Menin dans le quartier "De Barakken"
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Frontière
3 janvier 2012
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La situation d'Halluin a vu, à l'aube du second conflit mondial, la construction de casemates pour nous "protéger" de la neutralité du Royaume de Belgique, c'était une Ligne Maginot version light.
Bâtis en zone rurale, les blockhaus ont souvent été rattrapés par l'urbanisation, ils apparaissent comme des verrues dans les lotissements ou ont été enfouis à l'occasion de terrassements. Un de ces bunker gît au font de l'étang de l'espace vert du Colbras, englouti suite à l'extraction de l'argile.
Camouflage végétal à l'extrémité de la rue des Frères Baert.
Face à l'écluse de Menin, la démolition de locaux industriels et le terrassement du terrain a permis l'enfouissement de celui-ci. A noter qu'il était situé à l'intérieur d'un bâtiment.
Habité jusque dans les années 70, les remblais du lotissement "Les Platanes" ont créé un tertre dissimulant le blaukaus.
Imperturbable, du chemin des Meurins, il veille encore la frontière disparue.
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Frontière
26 décembre 2011
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Pour éviter le passage des véhicules entre la France et la Belgique, en dehors des poste-frontière, des piquets composés de tronçons de rail, étaient profondément enfouis. Remplacés par des pieux en bois aux extrémités des rues A. Blanqui, H. Deceuninck et H. Guesquiere, seuls ceux du chemin de Reckem, au Mont, subsistent.
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