Seul vestige des nuits blanches à Halluin, l'enseigne sur le pignon du batiment au carrefour de la route de Neuville et du chemin de Tournai.
Seul vestige des nuits blanches à Halluin, l'enseigne sur le pignon du batiment au carrefour de la route de Neuville et du chemin de Tournai.
Trop éloigné du parcour de la plus célèbre des classiques, le secteur pavé situé dans la partie haute du Chemin des Meurins ne verra jamais le passage du Paris-Roubaix.
L'ombre des Hussards de la République plane encore rue Zéphyrin Camélinat.
Il n'y a que l'architecture de cette maison qui rappelle la baraque d'origine. A la Rouge-Porte, elles ne plus que 2 ou 3 à présenter les carastéristiques de la baraque en bois, En arrière-plan on voit le clocher de l'église Saint Joseph de Menin dans le quartier "De Barakken"
En cette fin février les rayons du soleil mettent en avant le rouge des rameux aoûtés des tilleuls du Jardin de la Paix.
Vu sur la place Abbé BONPAIN, la restriction de stationnement pour la tenue du marché qui se tient... à la halle K'Nong Zem depuis un bon moment. Oublié de tous, même de la maréchaussée.
Un célèbre apéritif recommandé aux familles? On peut encore le lire sans difficulté sur ce mur de la rue Gabriel PERI. Autres temps, autre moeurs....
Seuls vestiges du passage à niveau de la gare d'Halluin: les voies coupant la route de Linselles
et le panneau ferroviaire "PN 182".
Quelques gargouilles fabriquées à Halluin ont échappé à la réfection des chaussées
et semblent inaltérables aux affres du temps.
Ces panneaux sont les vestiges du rusch des sorties d'usines, particulièrement à l'heure du midi. Des entreprises avaient même décalé leurs pointeuses de 5 minutes pour laisser "filer" leurs ouvriers pour devancer l'encombrement de la rue de la Lys.